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Alexandre Maizoué et Siben N'Ser, un duo de choc pour faire grandir Planet Sushi

20 Septembre 2018 - 8105 vue(s)
La chaîne de restauration d’inspiration japonaise se dote d’une nouvelle gouvernance avec l’arrivée d’Alexandre Maizoué aux commandes de Planet Sushi, de ses 70 restaurants annoncés (et 90 M€ de volume d’affaires). L’ex DG de La Pataterie devient CEO aux côtés du fondateur-chairman, Siben N’Ser pour engager une nouvelle phase de croissance accélérée.

Ses concurrents n’ont qu’à bien se tenir ! L’heure de la reconquête a sonné avec une chaîne de restauration japonaise livrée qui a bien l’intention de reprendre la main sur un marché en croissance où elle n’a cessé d’innover depuis 1998, date de sa création. Pour entrer dans une nouvelle ère, porter de nouveaux projets et passer à la vitesse supérieure, Siben N’Ser, le fondateur de l’enseigne a choisi de prendre un peu de la hauteur et de confier les rênes de son groupe, à celui qui a hissé la Pataterie parmi les leaders de la restauration à thème en franchise, devenue l’enseigne préférée des Français entre 2013 et 2016. Alexandre Maizoué qui, avant la Pataterie, avait dirigé un pôle régional de restauration à thème du groupe Flo, après avoir conduit la restauration du groupe Sodistour, se réjouit de ce nouveau défi. La chaîne dans laquelle il a investi et dont le board vient d’être renouvelé de moitié est une vraie pépite, explique-t-il. Elle a entamé une profonde phase de mutation qui prendra toute sa dimension dans la nouvelle version du concept qui devrait voir le jour dans les prochains mois, vraisemblablement en Belgique. « Nous allons accélérer les transformations de l’enseigne qui a déjà beaucoup travaillé sur ses process à partir des deux laboratoires qu’elle possède, l’un à Rungis pour le poisson, l’autre à Aubervilliers où sont fabriquées notamment les yakitoris".

 La RSE au coeur de notre projet de développement dans le cadre d'une stratégie de croissance ambitieuse.

Et le bouillonnant dirigeant de se réjouir de prendre la tête de cette véritable griffe "à l’esprit startup" sans endettement, avec des valeurs solides et un produit pointu qui entame sa mutation, notamment par la R&D interne en déployant l’intelligence artificielle en cuisine et en multipliant les partenariats digitaux.  « Les nouveaux process de fabrication centralisée permettent d’inscrire la chaîne dans la modernité et de soutenir l’accélération du développement à venir », précise Alexandre Maizoué qui mise sur une dizaine d’ouverture en 2019.

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