Après deux ans de gestion de son propre snack Sedaine Eleven, dans le 11 arrondissement de Paris, Elias Ben Dhaou vient de transformer son établissement parisien en un Dangerous Burger flambant neuf, marquant l'ouverture de la première unité parisienne de cette enseigne aux grandes ambitions. Cet établissement se veut l'une des vitrines de la marque en France, offrant aux Parisiens une expérience unique en son genre, axée sur la personnalisation des burgers mais aussi les défis culinaires.
Elias Ben Dahou et Farid Chentouf (cofondateur de Booster Group)
Dangerous Burger, la première marque sous licence de Booster Group, a pour ambition de revitaliser les restaurants en difficulté grâce à une stratégie bien rodée : identité forte, relooking moderne, soutien et marketing à 360°. Elias, séduit par cette formule, a investi près de 15 000 € pour adapter son établissement aux standards de l’enseigne (territoire de marque, PLV, bornes et signalétique) bénéficiant ainsi d’un accompagnement complet pour relancer son activité. Le lancement a été soutenu par un dispositif marketing élaboré en partenariat avec Bomb Agency, visant à attirer un large public par des campagnes sur les réseaux sociaux et un positionnement produit original.
"Notre formateur accompagne les licenciés 3 jours sur notre site école et 2 jours dans le restaurant au moment de l'ouverture", Farid Chentouf, cofondateur de Booster Group.
Si l'on peut composer son burger à la carte depuis 1 steak (4,90 €) jusqu'à 10 steacks de boeuf halal (26,90 €), l'associer à l'une des 4 frites au menu ou encore opter pour les burgers au poulet (tous ont leur alternative végétale Beyond Meat), les plus audacieux pourront tenter le fameux Xtrem Burger, (29,90 €) composé de neuf steaks et de trois tenders de poulet avec la sauce et le cheddar. Cette formule, qui rencontre déjà un succès auprès des jeunes générations, promet de faire sensation dans la capitale.
Avec cette quatrième unité en France, Dangerous Burger vise à s’imposer comme une référence dans le monde du burger. La marque souhaite non seulement redonner un second souffle aux restaurateurs, mais aussi se positionner comme un lieu d’expérience avec des produits proposés dans des formats adaptés aux petites comme aux grandes faims. Farid Chentouf, cofondateur de Booster Group, voit en cette ouverture parisienne une nouvelle étape vers une expansion ambitieuse. Pour Elias, cette réouverture est un tournant, avec l’objectif de multiplier par 4 son activité et d’atteindre des ventes journalières de plus de 1 500 euros jour en transformant son restaurant en un incontournable pour les amateurs de burgers parisiens. Du côté de Booster Group, on est convaincu que si le restaurateur applique les procédures strictes du manuel maison, il pourra rapidement dépasser les 2 000 €/jour.