Le Youtubeur de FastGoodCuisine lance Pepe Chicken, avec le soutien de Taster

Ca y est,  en quelques jours, Paris, Reims, Meaux, Rouen et Lille ont leur Pepe Chicken ! Suivent le 6 décembre Nice, puis le 13, Toulon, Nantes et Nanterre. Une vraie trainée de poudre pour ce qui se dessine déjà comme un phénomène sur les plateformes de livraison, agité par le très médiatique youtubeur Charles Gilles-Compagnon. « Le démarrage est tel que dès le premier soir, nous avions écoulé les stocks prévus pour 4 jours. Mais nous sommes bien calés aujourd'hui », explique à snacking.fr, l’entrepreneur. Un véritable raz-de-marée !  

A 27 ans, Charles n’en n’est pas à ses premiers coups d’éclat puisqu’à peine sorti de l’Ecole hôtelière en 2012, CAP et BTS en poche, déjà il créait sa chaîne Youtube FastGood Cuisine qui a rapidement trouvé son audience. A l’époque, confie-t-il, il souhaitait proposer tout simplement des recettes pour ceux qui ne savent pas cuisiner ou reproduire leurs expériences de fast-food à la maison. Le succès est tel que le jeune homme, qui multiplie les vidéos, affiche aujourd’hui régulièrement des scores du million de vues par séquence, avec un record à 11 millions pour sa fameuse recette en bonbon en 2016. Même succès d’édition avec ses ouvrages « FastGood Cuisine - Les Recettes rapides, simples et saines », puis « FastGood Cuisine-Healthy et Gourmand ». Depuis, tous réseaux confondus, il revendique avoir généré près de 1 milliard de vues. Une viralité exceptionnelle qui n’a pas échappé à Taster qui lui a grand ouvert son modèle, son soutien logistique et opérationnel tout comme son expertise pour lancer sa marque. Une jolie griffe de plus dans le portefeuille de l'opérateur.

"A travers Pepe Chicken, c'est véritablement une expérience différente de poulet frit, que je souhaite offrir aux gens qui me suivent." Charles Gilles-Compagnon - Fondateur de Pepe Chicken.

Des recettes mûries depuis 1 an.

Pepe Chicken, contrairement à ce que l'on pourrait penser, n’est pas un prête-nom mais la concrétisation d’un rêve et d’une aventure culinaire, se défend Charles qui nous explique comment, depuis qu’il a 4 ans, il sait qu’il aura son ou ses restaurants. C’est pourquoi logiquement, l’alsacien suivra un cursus professionnel dans la restauration au Lycée de l’Hôtellerie et du Tourisme Joseph Storck avant de switcher vers le digital. Mais, dit-il, jamais il ne s’éloignera trop loin des plaisirs de la table. Si l’homme des réseaux se dessine un destin plutôt virtuel, l’idée de monter son concept ne le quitte pas. Et c’est en 2020 qu’il passe à l’acte en élaborant son projet, nourri par ses voyages par-delà le monde et, qui aurait du sens auprès de sa communauté. « J’ai appris ce qu’était un vrai fry chicken avec du goût ; j’ai eu envie d’avoir mes propres recettes inspirées du vrai poulet frit à l’américaine ». De nombreux testings de marinades, de panures et de sauces plus tard, il parviendra à l’équilibre parfait et à une vraie signature maison. D'ailleurs, ses recettes de sauces et panures restent secrètes. Pour le nom, ce sera en hommage à son grand-père qui lui a donné le goût de la cuisine, Pépé Chicken avec une offre courte de tenders, burgers au poulet et wings, tous proposés en version classique ou spicy et accompagnés de frites, frites de patates douces, de potato waffle fries, de Bite-size Tater Tots, de maïs, agrémentés de sauces maison : la creamy BBQ, l’original Pepe Sauce, la sauce verte et la pepe hot sauce.

10,90 € : le prix de la qualité pour Pepe Chicken 

Avec un positionnement premium au sein du portefeuille de marques de Taster, les burgers Fastgood Chicken, proposés à partir de 10,90 € sur les plateformes, hors formule menu, comptent bien affirmer leur différence et, demain, leur leadership. L’entrepreneur qui voit grand, souhaiterait s’installer où sa communauté le réclame. C’est-à-dire partout en France et sans doute, comme le modèle Taster le propose, chez de nombreux restaurateurs qui souhaitent diversifier leur activité  et trouver des relais de croissance.  Si la marque mord bien (et rien ne semble attester du contraire), rapidement Charles entrevoit un déploiement de 1 à 2 ouvertures par semaine et pourquoi pas, comme il le souhaite fortement, ouvrir un food truck pour aller servir ceux encore en zones blanches et qui ne peuvent pas se faire livrer.