Big Fernand compte aujourd’hui 53 restaurants ouverts, dont 37 en franchise avec une présence sur l’ensemble du territoire mais aussi à l’international à Dubaï (3) et bientôt au Luxembourg. Elle devrait réaliser un chiffre d'affaires de 65 M€ en 2019.
"Je suis particulièrement fier de cette aventure entrepreneuriale et du chemin accompli avec mes équipes. Nous avons bâti ensemble une enseigne solide, avec de vraies valeurs humaines, et qui a su de tout temps préserver la qualité de ses services et de ses recettes." Steve Burggraf.
Le cofondateur de Big Fernand précise également à France Snacking qu'il se définit comme un entrepreneur dans l’âme. Il a d’ailleurs tenu à exprimer toute sa confiance à son successeur, Maurizio Biondi, alors qu’il a participé lui-même à son recrutement. « Maurizio Biondi est la personne adéquate pour écrire l’acte II de Big Fernand, qui est aujourd’hui une marque reconnue, appréciée des Français. Conquérir les univers du Travel Retail, des centres commerciaux et bien sûr l’international feront partie de ses défis », alors que BlueGem Capital Partners, qui avait racheté 80 % du capital de l’enseigne en mai 2017, a fait de la conquête de nouveaux pays l’une de ses priorités.
Le nouveau président de Big Fernand a donc été choisi en concertation étroite avec son fondateur (qui a choisi de « garder un « orteil » au sein du groupe avec 1 % du capital ») et le groupe. Celui qui prendra ses fonctions en juin 2019 connaît parfaitement le monde de l’alimentation, Maurizio Biondi après une longue carrière chez Danone (2000-2016) et… McDonald’s France (depuis 2016) où il occupait les fonctions de Directeur Marketing. De son côté, Steve Burggraf, qui a insufflé à Big Fernand un côté décontracté aussi visible dans le service des restaurants qu’au siège, a déclaré non sans émotion, vouloir se consacrer pleinement à son activité Cul de Cochon, qui compte à date 4 boutiques et un atelier avec l’ambition de développer sa présence dans les circuits du CHR.
Il a également d’autres projets personnels comme la création de sa fondation qui permettra de soutenir l’institut Gustave Roussy, 1er Centre Européen de lutte contre le cancer, et envisage d’autres projets d’entreprise, « toujours dans l’univers de la food ».